Résumé :
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Le lundi 4 janvier 1960, Albert Camus est tué dans l'accident d'une Facel Vega que conduisait son ami Michel Gallimard. L'auteur de La Peste et de L'Étranger, prix Nobel de littérature, était alors en pleine gloire. Près d'un demi-siècle après, Camus n'a rien perdu de son actualité, au contraire : parce qu'il avait choisi la révolte plutôt que la révolution, parce qu'il n'entendait être ni victime ni bourreau, parce qu'il raisonnait avec son cœur, parce qu'il croyait à la puissance de la vérité. Daniel Rondeau a relu ses livres et s'est penché sur sa vie. Il y avait chez lui, écrit-il, une noblesse, une ardeur serrée, une façon de voir l'éternité dans chaque instant, un mouvement naturel entre la prose et la parole qui l'ont fait grandir dans son cœur et durer dans celui des hommes. " La vérité est toujours à construire, comme l'intelligence, comme l'amour " semble rappeler Camus à notre temps d'incertitudes et de questions. Une réflexion sur l'engagement, la liberté, la vérité; un plaidoyer pour l'homme dont l'enseignement demeure essentiel.
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