Résumé :
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Le pitch ? Quel pitch ? Il est impossible d en dévoiler un. Le quatrième roman de Michel Houellebecq, par son ampleur, ses ambitions, sa façon bien à lui de déjouer tout pronostic, échappe à cette pratique paresseuse de la critique moderne. Alors qu en dire ? Dire que les éditeurs étrangers les plus importants (US, Grande-Bretagne, Allemagne, Italie, Espagne, Suède, Japon ), l ont lu sur manuscrit et aussitôt acheté. Dire aussi qu ils n ont pas été avares de compliments. L un louant son humour décalé, l autre célébrant son lyrisme, le troisième avouant à quel point il avait d abord ri, puis frémi devant cette fresque admirablement construite, où tout est à sa place, sans effort apparent, comme soulevé par une intelligence qui lance un défi à la raison, un avertissement salutaire. En un mot, soufflé par l auteur lui-même : « Je crois que c est mon meilleur livre. »
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