A partir de cette page vous pouvez :
Retourner au premier écran avec les recherches... |
Titre : | Pauline Bonaparte : La nymphomane au cœur fidèle |
Auteurs : | Georges BLOND, Auteur |
Type de document : | texte imprimé |
Editeur : | Paris : Perrin, 2002 |
Collection : | Toute L'histoire... |
ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-262-01910-5 |
Format : | 1 vol. (281 p.) / ill. en couv., ill. en n. et b. / 21 cm |
Langues: | Français |
Langues originales: | Français |
Mots-clés: | Bonaparte, Pauline |
Résumé : |
Pauline, enfant terrible de la famille Bonaparte, eut deux maris et d'innombrables amants. Mais son cœur a été fidèle à un homme, son frère Napoléon.
Quel destin espérer – ou craindre – lorsqu'on est sœur d'un empereur, et d'une beauté fascinante : " la plus belle femme de son temps ", a dit Napoléon ? Une enfance de petit animal sauvage, sans l'ombre d'une éducation. Un temps, la pauvreté, presque la misère, puis la vertigineuse ascension du génie de la famille. Mariée très jeune au général Leclerc, avec lequel elle vit l'aventure coloniale de Saint-Domingue, elle se retrouve veuve à vingt-deux ans. Pour peu de temps, puisque son frère lui fait épouser, en 1803, le prince Camille Borghèse qui ne saura satisfaire ses ardeurs. Elle multiplie alors les dépenses, les caprices, les folies, les amants. Combien en eut-elle ? Nul n'a pu les dénombrer précisément. Mais il est incontestable – Georges Blond le démontre – que Pauline était atteinte ce cette " exaltation excessive et morbide de l'appétit sexuel " qu'on appelle nymphomanie. Toutefois, la sœur préférée de Napoléon – qui tempête mais pardonne – n'est pas une Messaline. Elle a aimé d'amour son premier mari et deux ou trois de ses amants. Et son cœur a été fidèle à un homme : l'Empereur. Eblouie dès son enfance par Napoléon, Pauline a été parfaitement dévouée à ce frère prodigieux et tyrannique. Jusqu'à la fin, jusqu'aux plus grands malheurs. Ainsi, seule de tout le clan, après lui avoir donné son argent, ses bijoux, elle partagera son exil à l'île d'Elbe. Mieux, elle n'aspirera qu'à le rejoindre à Sainte-Hélène. En vain. D'ailleurs, il ne lui reste plus longtemps à vivre elle-même. Elle meurt en 1820, à quarante ans, épuisée, fanée, consumée. Georges Blond retrace avec délicatesse le destin pathétique – tout bien considéré – de cette princesse légère, blessée par sa névrose. Il le mêle constamment au courant tumultueux de l'épopée. Il fait répondre le bruit du canon aux musiques des bals. Georges Blond (1906-1989), officier de la marine marchande, journaliste, essayiste, romancier, a écrit La Grande Armée 1804-1815 ; Les Cent-Jours : Napoléon seul contre tous. |
Exemplaires
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|---|
aucun exemplaire |