Résumé :
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On se souvient du scientifique fou Septimus qui, grâce à son appareillage télépathique, pilotait son voleur Olrik comme un pantin. La Marque Jaune accompagnait chaque forfait. À la fin, Septimus mourait, Olrik disparaissait. Voilà qu'un petit groupe de quatre personnages troubles décide de remettre en route le laboratoire de Septimus pour manipuler Olrik, retrouvé. Mortimer a eu la même idée, pour mieux comprendre le mécanisme de l'installation. La mise en route simultanée des deux dispositifs provoque la catastrophe : l'interférence des rayonnements émis déclenche l'apparition de Septimus, puis de plusieurs clones, puis d'une multitude de Septimus. Comment s'en débarrasser ? On retrouve l'univers des deux gentlemen : les découpages, les cases aux à-plats de couleurs, la précision dans les décors londoniens, les visages expressifs et ressemblants. Bravo aux deux dessinateurs pour leur fidélité. Dans le même registre, mais moins agréable, le scénariste Dufaux a perpétué les dialogues explicatifs et prolongés, amenant à placer des textes parfois illisibles dans des phylactères encombrés. Le scénario, quant à lui, malin au début, se perd dans une histoire de zombies qui peine vers la fin et laisse tout le monde sur sa faim. (source : les-notes.fr)
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