Résumé :
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Nathalie est une héroïne qui n'a pas froid aux yeux. Son rêve serait de partir, d'aller à la découverte d'un Monde avec un grand M comme dans ... Maman. Ses grandes références, ce sont les grands noms qui ont donné au récit de voyage ses lettres de noblesse et à l'aventure les grands jambages du A majuscule, à savoir Joseph Conrad, Jack London, Albert Londres ... Nathalie est bien sûr influencée par la télévision et la publicité, mais aussi et surtout par ses lectures boulimiques, qui vont du dictionnaire au roman en passant par les magazines comme Géo , la bande dessinée, les atlas, et caetera. Nathalie voudrait tout voir, tout savoir, tout parcourir, tout découvrir, mais la force maléfique de l'inertie l'empêche de concrétiser ses rêves. En effet, comment se priver du confort douillet de la maison à l'heure du cocooning ? Dans Mon premier tour du monde , l'accent est mis sur les voyages, les découvertes, le grand départ. L'album se compose de gags en une planche (de six cases chacune) qui peuvent se lire à la suite comme une chronique de la vie familiale de Nathalie rythmée par ses rêves d'évasion. En quelques pages, le décor est planté. Le grenier de Nathalie, c'est l'Annapurna, la cave, c'est la fosse des Mariannes, le congélateur, c'est la banquise et l'eau de son bain, c'est l'océan. Nathalie n'a peur de rien, ni de la chaleur insupportable de la Vallée de la Mort, ni du froid insoutenable de l'Antarctique. Pourtant, une chose l'effraie au plus haut point : l'interro de maths, le lundi.
Mots-clés : voyage, vie quotidienne, famille, humour
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